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L'enfant qui souffre n'a pas le temps d'attendre.
- Alexis DANAN -

Des victimes toujours plus nombreuses… Vous trouvez cela normal ?
La protection de l’Enfance est l’affaire de tous.

A l’initiative de la création du Comité de Clermont-Ferrand en 1983, élue et assurant la Présidence de la Fédération Alexis Danan depuis 2008, Anne-Marie Clément, fidèle aux valeurs d’Alexis Danan, n’a cessé d’œuvrer pour faire entendre la souffrance de l’enfance maltraitée, d’accompagner les enfants victimes et leurs proches, et d’apporter sa contribution pour l’amélioration des lois de Protection de l’Enfance.

Les Comités engagés à ses côtés ont perdu un guide, une amie irremplaçable, mais fidèles à sa mémoire, à son engagement profond, ils poursuivent leurs missions réunis au sein de leur Fédération, la plus ancienne des associations de Protection de l’Enfance.

Il y a urgence dans notre société en pleine évolution afin que l’enfant ne soit pas oublié en tant que PERSONNE.
La fédération des comités Alexis DANAN.
Liberté de dire, de vivre heureux, de grandir.
Egalité de parole avec celle de l’adulte qui peut mentir et se protéger.
Fraternité reconnue à travers le respect, la confiance, le partage.
Protection comme engagement formel de chaque adulte.

Notre engagement : Protéger les enfants.

La Fédération agit avec tous, associations et pouvoirs publics, pour que la convention Internationale des Nations Unies sur les droits des enfants soit réellement appliquée.

Permettre aux enfants et adolescents, voire de jeunes adultes, victimes de négligences, de solitude, de violences physiques et psychologiques, d’abus sexuels, de cruauté mentale, de harcèlement physique et moral, etc… d’être aidés.

Par l’intermédiaire des comités, la Fédération s’attache à des actions d’information et de sensibilisation du public, et de prévention auprès des enfants et des jeunes, parents de demain. Elle anime des réunions, organise des débats, projette des films.

La Fédération se porte partie civile devant les tribunaux dans les affaires de sévices à enfants afin de démontrer qu’il existe 2 types de responsabilités : celle des coupables qui sont sur les bancs des accusés, et celle de ceux qui savaient et se sont tus. Il s’agit de lever la chape de silence qui étouffe les cris des enfants et de venir à bout de ce sentiment général de non responsabilité qui envenime les relations sociales.

Nos missions

Ecouter, aider, agir.

Un enfant qui subit une situation de maltraitance dans sa famille, ou à l’extérieur de celle-ci, doit savoir qu’il doit pouvoir trouver autour de lui un adulte digne de confiance à qui il pourra se confier et qui l’aidera.

Quand un membre d’une famille ou un proche s’adresse à nous pour nous confier une situation de maltraitance, il sera assuré de trouver une écoute bienveillante, sans jugement, et si la situation n’est pas de notre ressort, nous avons le souci de l’orienter vers une structure mieux adaptée.
En cas de procédure judicaire, soutenir les familles dans les moments difficiles avant, pendant et après.

Si la situation n’est pas déjà connue des services de la protection de l’enfance, notre rôle est de transmettre à la CRIP (Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes) du département ou au Procureur de la République toute situation de maltraitance qui nécessite leur protection. Le comité effectuera en son nom l’information préoccupante si la personne qui a révélée la situation souhaite garder l’anonymat.

Nos comités multiplient les occasions de se faire connaître auprès des adultes en participant aux manifestations de leur région (forum des associations, conférences, journées de formation …). Ils se font connaître auprès des enfants en développant les interventions dans les écoles, les centres de loisirs, les clubs de sport…
Promouvoir les droits de l’enfant par des interventions dans les établissements scolaires et des programmes de prévention de la violence.

Dans notre société, les mœurs vis-à-vis des enfants changent. Des comportements qui étaient tolérés il y a quelques décennies sont actuellement et heureusement gravement condamnés. La fédération doit rester vigilante.
Elle assure aussi le lien avec les ministères et les institutions pour faire remonter les situations vécues au sein des comités et ainsi elle participe à faire évoluer la loi dans le sens d’une plus grande protection des enfants.

Agir pour la protection de l’enfance et de ses droits fondamentaux.

Notre Fédération agit depuis 1936 pour la Protection de l’Enfance et elle aurait souhaité disparaître dans une République qui aurait garanti bien-traitance à chacun de ses citoyens « enfants » à travers la volonté de chacun de ses citoyens « adultes »

Comites de la Fédération Alexis DANAN Pour la Protection de l’enfance

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La fédération continue d’agir pour la protection de l’enfance et fédère les Comités.

Parmi les responsables, nombreux sont les spécialistes de l’enfance: médecins, enseignants, travailleurs sociaux, juristes, et d’autres qui connaissent bien le problème pour le vivre journellement.

Des pères et des mères de famille, des volontaires, tous les bénévoles, se battent dans toutes les régions de France pour des enfants qui sont trop souvent oubliés de notre société.

Alexis DANAN, à l’initiative de la protection des enfants.

1927 : Alexis Danan, journaliste militant engagé pour la cause de l’Enfance malheureuse publie une série d’articles, « l’enfant des taudis ».

Eté 1934 : la révolte des colons de Belle Ile en Mer, la chasse aux enfants immortalisée dans la chanson éponyme de J Prévert. 

Des voix s’élèvent : médecins, pédagogues, politiques, et créent un mouvement engagé contre les bagnes d’enfants qui est à l’origine de la fermeture de certains : Mettray, Eysses, Belle Ile en Mer.

AD, grand reporter à Paris Soir est des leurs. Il ne cesse de dénoncer dans ce quotidien très populaire le sort réservé aux jeunes des colonies pénitentiaires

En 1936, il publie Maisons des supplices, ouvrage dans lequel il reproduit des lettres adressées par d’anciens colons suite à ses articles dans Paris soir

Peu de lois protégeaient les enfants et celles-ci étaient peu ou mal appliquées.

Alexis Danan s’attaqua d’abord aux institutions en place. 

Le 31 mai 1936, il lance un appel à la France entière dans le journal « Paris Soir »

« Nous demandons qu’il en soit de l’Enfance malheureuse dans ce pays et de l’Enfance tout court, comme il en est des jardins et des monuments des villes qui sont placés sous la protection du public. »

Cet appel fut entendu, les consciences s’éveillèrent, les Comités étaient nés.

Des modifications importantes de notre système de protection ont vu le jour grâce à lui. Les enfants de l’Assistance Publique, trop souvent placés à l’époque, comme des domestiques de ferme, ont vu progressivement leur sort amélioré. Il n’a jamais cessé, jusqu’à sa mort en 1979 de réclamer un ministère de l’Enfance.

Brèves – Actualités – Documentation

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Chaque geste compte !

Les comités​

Contacter le comité le plus proche de chez vous par téléphone ou par email

La fédération

Contacter la Fédération des comités Alexis DANAN au 07 81 63 94 38 ou en envoyant un email en remplissant le formulaire ci-dessous.​

Le SNATEM

Contacter le Service National d'Accueil Téléphonique pour l'Enfance Maltraitée au 119 (24h/24)

Forces de l’ordre

Contacter la Police ou la Gendarmerie (suivant le secteur) au 17 (en cas d'extrême urgence), ou par SMS au 114

Urgences Européennes

Contacter le numéro d'urgence européen au 112 (pour des situations extérieures) ou par envoi d'un SMS au 114

Harcèlement - Cyberharcèlement

Pour le harcèlement, composer le 3020 Pour le cyberharcèlement, composer le 3018

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La Fédération des Comités Alexis DANAN considère chaque demande avec la plus grande attention.